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CYCLOSPORTIFS DE PLAN DE CUQUES
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CYCLOSPORTIFS DE PLAN DE CUQUES
21 mai 2007

Les MESAVENTURES de PAPY RORO

Quel BEAU DIMANCHE on a vécu.

Tout d'abord FELECITATIONS à nos coursiers, LE MEL, DIDIER, FRED sur le "petit" parcours, qui ont comme d'habitude marchés comme des AVIONS (comme PAPY RORO, vous verrez plus tard), et à nos COSTAUDS du "grand" parcours, CHRISTOPHE (qui est INTENABLE), mon fréro YVES (malgré ses crampes), MICHEL (qui commence son opération d'épinglage des uns et des autres), LUCHO (qui a fini comme une fusée) et SGEFFI qui commence à bien marcher, pôvre BACHELOR, il a de GROS GROS SOUCIS à se faire.

Et PAPY RORO ?

Eh bien il s'est fait déchirer, et a vécu de GRANDS MOMENTS de SOLITUDE.

Une matinée en enfer, à la poursuite de tout le monde, sans jamais revoir personne, ADIEU VEAU, VACHE, COCHON, PERRETTE, LE POT au LAIT, LA FEMME IVRE et LE TONNEAU PLEIN, lui qui se voyait déjà en HAUT de l'affiche (air connu), à la CAVE, au fond du Gouffre, en grosse déprime, et en plus avec le C.. (poliment nommé arrière train) déchiré dans tous les sens du terme, avec une bonne crise d'HEMMOROÏDES dans la nuit, grâce à la chevauchée FANTASTIQUE agrémentée de multiples crampes du Matin.

M'en fin, une bonne journée tous ensemble (si on peut dire car j'ai pratiquement vu dégun de la matinée).

BON, je termine en vous joignant une petite histoire qui ne me fait pas rire du tout, car elle me fait des frissons dans le dos, car dans la vie, il ne faut JAMAIS dire JAMAIS, car elle pourrait bien m'arriver .... sauf si je décide de ne surtout pas rentrer (comme d'habitude) s'il pleut.

Cette histoire risque d'être un jour ou l'autre du vécu :

Avis à tous mes amis allumés du dimanche matin...en général...!!!

Dimanche 6 heures du matin, l'homme se lève sans faire de bruit pour ne pas réveiller son épouse.

Il charge son VELO (alias DAIMANT 2 – JOLY JUMPER) dans la voiture, et s'en va.

Arrivé sur le parcours, il se met à tomber des trombes d'eau.

Considérant que sa matinée est foutue, et que les JEUNOTS, BACHELOR et CONSORS sont des JOBÂSTRES, il décide de rentrer chez lui.

Il se déshabille sans faire de bruit, et se recouche doucement tout près de son épouse (BONEMINE pour les intimes), et lui chuchote à l'oreille :

- Il pleut comme vache qui pisse

Et elle, répond :

-       Quand je pense que l'autre CON est en train de pédaler...

QUE LA VIE EST CRUELLE pour votre PAPY RORO en ce moment.

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