LA ZIZANIE !

Comment résumer la sortie d'hier matin ?

Impossible de faire ressortir un (un seul) fait marquant, mieux vaut rester sur une version chronologique des choses.

Au départ donc : un bataillon de jambes (rasées ou non) fourmillent devant la piscine.

Mon ami Daniel et moi même avons remisé nos anciens maillots de coursiers de l'ASPTT pour les tenues flambantes de la MJC et nous rejoignons tous les collègues déjà ... en grande conversation.

Dans le désordre : les anciens, puis l'espadon, le mel, bubu, bert, roger, philippe, joël, lionel, dédé et loïc, nico, ben, bref du beau monde.

Sont excusés, Sergio, Jéjé et Yves pour cause de crampes (pour 2) et de gâté (pour le + jeune qui a la santé). D'ailleurs, je fais une apparté sur notre jejez dont le comportement se clarifie depuis notre soirée en boîte. Lui, le samedi soir ... c'est travolta ou cloclo et ses clodettes à la maison (dixit lui même), bon mais que pouvons nous en déduire hein ? ... et bien que si la cyclo a lieu le dimanche, il est fatigué, n'encaisse pas les départs, bref il n'a pas récupéré de sa nuit! par contre, si c'est le samedi matin, il est frais, attentif à ne pas faire le moindre effort superflu et termine, de fait, super frais, tel Hugo Koblet en son époque à qui Roro passait le peigne à l'entrée des vélodromes afin que le champion suisse fut toujors d'une présentation impeccable !

Voilà, je referme la parenthèse et encore bravo à sergio, à yves et ses crampes au pied et à jejez koblet donc!

Sont excusés aussi notre chris et notre pierro pour cause de maintient de l'ordre quelque part ailleurs ou le bordel est de mise, mais pas chez nous, enfin pas encore car la zizanie est vite arrivée hier matin !

Tous les autres ne sont pas excusés, mais on les aime quand même, amen.

Départ par les thermes bien sur et déjà un gros écart au ... Logis neuf, puisque seuls Joël, Philippe et Ben suivent Daniel et Michu. On monte au train, mais le reste du paquet ne rentrera pas avant le sommet. Regroupement à Auberge neuve ou Nico décroche le wagon direction miramas et le boulot. Nous arrivons à Trets dans la roue de l'espadon dont le CX fait merveille et n'est pas sans rappeler ... Van Gog (oui, oui) tant son sillage écarte les turbulences sur les côtés et fait apparaitre les paysages comme des peintures "enroulées" du maître !!!!

Au cimetière, Joël, lance les hostilités, je hausse le tempo et Daniel en rajoute ... à Kirbon , on est 4 avec Loïc et on le reste jusqu'au sommet ou le regroupement s'effectue.

L'espadon nous annonce sagement qu'il rentre, ayant suffisament évacué de toxines de la veille. Puis, certains ont peur que l'homme au marteau se cache dans la ste côté st zach' et nous annoncent que l'on se retrouvera à Nans pour le café. Bilan, se lancent à l'assaut des sévères rampes de la ste : Lionel, Roger, Joël, Philippe, Daniel, Ben et votre serviteur. La montée se fait par les "42" (comprenez les 42 dents puisque les anciens ASPTT doivent faire partis des derniers irréductibles à utiliser ce plateau) et vite, bilan, ça explose de partout. Regroupement en haut avec un roger chouillé, amené dans un fauteil sur le plat avant la descente par nans ou nous retrouvons Bert et Bubu. Descente apuyée mais sans plus, ...ou nous croisons les gros becs et ou nous perdons encore la moitié de la troupe !!!

Au café de nans, Joël, Ben, Roger, Daniel, et moi même, attendons les collègues qui n'arrivent pas. Nous pensons alors que ceux qui sont montés par nans ont déjà pris le café, donc ne se sont pas arrêtés. Aïe !! On remplit les bidons et nous voilà repartis vers la sambuc dans l'espoir de revenir les croiser vers le golf ... sans est trop pour ben et Roger qui mettent la flèche et rentrent direct par St Zach'.

Nous restons ... 3 à partir vers le golf dans l'espoir de croiser les collègues ... et nous croisons LOLO, sur son Colnago qui rentrait lui aussi. Pause Pipi au golf, mais pas de collègues, on se résigne alors à rentrer et à faire rougir les 12,13 et 14 dents jusquà Auriol.

Malgrés la grosse vitesse de croisière, nous ne reprenons personne, aussi, à Auriol, nous prenons ... les boyers que nous montons encore à vive allure, puis le pigeonnier où mes deux derniers compagnons me quittent direction plan de cuques, alors que je descens sur Trets.

Voilà 110 pitons, donc où nous nous sommes tous éparpillés de façon incompréhensible, le Ouaï complet, berf ... la Zizanie, comme je le disais en titre.

J'espère que tout le monde est bien rentré et à la prochaine

El Michu Pichu