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CYCLOSPORTIFS DE PLAN DE CUQUES
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CYCLOSPORTIFS DE PLAN DE CUQUES
20 juillet 2020

Mon Récit de la Route du Diable avec Crampinou

LA ROUTE DU DIABLE SELON SERGIO…… (un peu long, mais bon………)

 

L’étape du Tour, oui l’étape du tour de France qui devait avoir lieu le 5 juillet 2020 aurait pu être le seul évènement qui m’aurait empêché de participer à cette fabuleuse aventure….

Effectivement je devais être le « poisson pilote » de Claire sur cette épreuve de masse, car elle était sélectionnée par AG2R, son entreprise, pour y participer.

Bref, pas d’EDT donc « Banzaï », direction Valence dans la Drôme en compagnie de mon coéquipier Christian dit « crampinou » pour prendre le départ de cette épreuve que nous souhaitions faire en duo. Christian lui, était inscrit en solo initialement.

N’ayant pas eu de préparation spécifique, ni physique, ni mentale, pour ce genre de raid nous partions « la fleur au fusil » avec Christian, car nous n’avions jamais parcouru de telles distances. De plus, suite à la situation sanitaire et le confinement, nous n’avions pas « les bornes » normalement à cette période……

Au niveau du matos, nous avions opté pour nos vélos de « Gravel », avec des pneus tubeless en 28 gonflés à 5 bars pour plus de confort, des pédales et chaussures VTT, plus pratiques pour marcher. Pour l’équipement, une sacoche de selle ADIPURA de 14 l où j’avais glissé mon sac de couchage, ma doudoune trekking, une rechange complet, cette sacoche maintenue par un arceau rigide ‘Woho antisway » de chez Tregoride) qui  nous a permis de fixer 2 porte-bidons et qui de plus empêchait l’effet balancement en danseuse. Puis une sacoche de cadre de la même marque, une sacoche de cintre et une petite sur le haut pour les batteries. Pour l’éclairage, perso j’avais une frontale sur le casque de la marque SPANINGA (hollandais) qui tiens au minimum 48 h, une lampe sur le cintre avec batterie aussi, ce qui nous conférait une bonne vision nocturne. Par contre nous avions emmené beaucoup trop de choses inutiles, mais bon nous étions des néophytes non ? Au total, un vélo chargé à 18 kgs avec les bidons remplis, pas évident à faire monter au sommet du Pas de Peyrol J

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Notre plan de route était clairement de faire l’épreuve en quatre jours et demi, à savoir départ lundi 6 juillet 13h06 et arrivée vendredi soir vers 22/23 h !

Bien évidemment, nous étions bien loin du compte car nous n’avions pas bien évalué la difficulté de ce magnifique parcours et surtout sa complexité de navigation, due à un Garmin 1030 capricieux et indompté par mon coéquipier, qui nous a couté beaucoup d’erreur de parcours et de stress……

Personnellement, je n’étais pas équipé d’un GPS performant, me contentant de confirmer grâce à mon fichier PDF, le nom des villes et villages traversés ainsi que l’identification des routes et chemins empruntés J

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Au départ !

Dés le départ du Clos du Puits, après seulement 2 kms, Nous étions déjà en train de chercher la trâce et doublés par d’autre concurrents, nous nous contentions de suivre la leur jusqu’à la bifurcation vers St romain de Lerps et sa belle bosse. Oups on tire droit pendant 200/300 mètres avant de se rendre compte qu’il fallait tourner à droite. Ça commençait bien !!!! L

Au kms 90, dans le col de l’Escrinet après Privas, nous comptabilisions déjà 3 grosses erreurs de parcours, mais c’était le début de l’épreuve, nous étions encore frais et disposé à accepter ces errementsJ.

La nuit arriva et, rejoints par d’autres concurrents, notamment nos collègues du team Cyclosportissimo Thomas et Cyril, nous avancions correctement sans trop d’aléas.

Mais, Aléa Jacta Est : après ALES où nous fûmes abandonnés par nos copains qui roulaient plus vite que nous sur les portions plates, nos déboires « garminesques » reprirent de plus belles L Je vous passe les pertes de bidons, les presques téléscopages avec blaireaux et chevreuils, mais nous arrivâmes tant bien que mal au ravito à la sortie de NAVACELLES en toute fin de nuit où Pascal et son fils Axel nous attendaient.

Après une halte de 45 mns, bien restaurés et bidons remplis, nous reprîmes la route vers notre première vraie « halte repos », après REQUISTA chez l’habitant, pour y passer une nuit confortable.

La suite du parcours nous amenait via Lodève et son difficile col de la Baraque de Bral, puis le col de la Pierre Plantée, à OLARGUES où nous avions prévu de faire une halte restauration. Après un arrêt repas d’une heure, nous voilà repartis et là « patatras » le GARMIN refait des siennes lol…. Au lieu de prendre la direction du col de Fonfroide, nous allions à gauche pour emprunter une petite route pentue, qui nous semblait la bonne. Mais après 5 kms et une redescente versant opposé, nous dûmes faire demi-tour car la route n’allait pas plus loin …….. Allez un de plus et quelques D+ aussi L

 

Retour sur le village d’OLARGUES, renseignements pris, la route fût retrouvée, ouf, et quelle route, le col de Fontfroide et ses 11kms à 7% de moyenne, avec vent défavorable. Je dois avouer que là j’ai dû faire appel à toute mon abnégation pour ne pas rendre les armes, car j’appréhendais la suite avec la certitude que nous allions galérer !!!!

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Le Village d’Olargues.

La redescente vers le département du Tarn et ses petits villages aux noms originaux fût avalée assez rapidement, une petite halte fraîcheur à Belmont S/Rance et ….. Encore une galère de plus pour retrouver la « trace »…… Bref chemin retrouvé J, direction Rebourguil et Requista via la vallée de la RANCE, avec un vent plutôt favorable et un profil bien moins pentu ouf…..

Mais une fois le lit du Tarn rejoint et traversé, nous attaquions la difficile remontée (non répertoriée) sur la commune de Requista, avec un revêtement de mauvaise qualité et la fatigue qui commençait vraiment à se faire sentir et nos vélos chargés à 18 kgs, ce fut un vrai chemin de croix cette bosse !!!

Au sommet nous nous laissions « glisser » vers Cassagnes Begonhes où nous attendait la personne chez qui nous devions dormir J

Waouh, l’hospitalité Aveyronnaise J accueillis par des gens d’une gentillesse et d’une énergie incroyable, ce repos fût vraiment un moment fort de notre périple. Au petit matin, après avoir pris congé de nos hôtes, qui au passage s’étaient levés à 5h du mat pour nous faire le p’tit dej, Nous prîmes la direction de l’Aubrac où, après le joli village de St Côme D’Olt, une bien belle et longue bosse nous était servi en hors d’œuvre de la journée afin de rejoindre le plateau et le village d’Aubrac où nous croisâmes de nombreux pèlerins sur le chemin de St jacques de Compostelle.

Quelle chance de pouvoir traverser ces paysages magnifiques avec des conditions qui nous étaient plutôt favorables (pas de vent et heureusement), mais que notre progression fût lente sur ces routes où l’on est toujours « en prise » L

St Urcize rejoint, une supérette trouvée, nous allions avoir la surprise de retrouver ……des Marseillais mdr !! Oui la femme du gérant du magasin était de Marseille put… on est partout J

Bon la salade de riz de Pierre Martinet « le traiteur intraitable » ce n’était pas les pommes de terre sarladaises de la veille, mais bon la faim nous interdisait de faire les difficiles non ?

Au jeu des chassés croisés avec les autres concurrents, nous eûmes encore les honneurs de croiser et de recroiser Michael, Laurent, Alain, Michel et Lucy, Jacques le Sultan au gré de nos errements et de nos demi-tours J

De nouveau une « plantade », alors que nous étions sur la bonne route, dans la descente du Belvédère de la Truyère, sacré quiproquo avec un pote qui m’envoie un message disant que l’on était hors trace et notre Garmin qui, au même moment, nous indiquait de faire demi-tour.

Je crois que notre Jacquot national a eu à ce moment-là son plus gros fou rire en nous voyant à l’envers de sa route après une terrible remontée du Belvédère L

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Le Viaduc de Garabit.

Bon le positif de cette histoire c’est que ça nous avait permis de partager un bout de route avec nos copains et copines J

La suite fût plutôt pénible car la traversée de l’agglomération de St FLOUR, avec un thermomètre affichant 38 ° et une circulation très très dense, puis l’interminable ligne droite de la départementale 926 qui nous menait jusqu’à Murat ne s’annonçait pas comme une partie de plaisir. Surtout que dans la foulée la N 122 qui rejoignait LE LIORAN était dans le même style, avec des camions très peu respectueux de notre condition de cycliste L

Bon la coupe était pleine. Arrivés au village de St Jacques de BLATS, la décision de faire un arrêt repas et dodo s’imposait à nous, surtout que nous attendaient les cols du Perthus et du pas de Peyrol par la suite.

La chance nous souriait un peu quand, après avoir mangé dans une petite auberge, nous interrogions le patron sur un endroit possible pour dormir à l’abri. Bingo !! Le monsieur, cycliste lui-même, nous proposât de dormir dans une pièce contiguë à un garage, d’une maison qu’il venait d’acquérir. Ce fût bon de pouvoir être à l’abri et au calme et l’envie de reprendre notre chemin de bonne heure le lendemain nous apparaissait évidente……..

S’ensuivit la plus belle des « plantades » de notre périple, à 5h du mat, on se retrouve sur la N 122, mais tournant le dos à l’itinéraire. Garminou nous indiquât une petite route sympa, mais très pentue, effectivement bien à droite, mais après 5 kms de montée : oups route barrée L Allez demi-tour, retour sur la N 122 (putain on l’aime celle-là !!!). Mais Garminou continuait à faire des siennes. Au lieu de remonter, nous continuions à descendre encore un peu jusqu’à une nouvelle route à droite, vers le village de Flaviac, qui n’était absolument pas sur mon fichier PDF. Bon là les grands moyens s’imposaient : coup de fil au Bridou et bien sûr confirmation que la bonne route se trouvait bien à droite, mais juste avant l’entrée du village de St Jacques !!!!

Allez, remontée de cette satanée N 122 sur plusieurs kms avant d’enfin rejoindre la route du col du Perthus, le village de MANDAILLES et la longue ascension du Pas de Peyrol. Regroupés au sommet, nous allions retrouver Pierre et Valérie au hameau du JOLAN pour un ravito/p’tit dej bien venu J

 

La suite de notre route, après un dernier petit col, celui de Balladour,  nous menât  du Cantal au Puy de Dôme via la  Haute Loire jusqu’aux monts du Forez-Livradois et son célèbre col de Reculon où l’on a bien « reculer » mdrrrr J tout ça pour dire que ces routes-là n’étaient pas simple du tout à négocier avec une chaleur écrasante et un goudron engravilloné et fondant hummmmm !!!! Bon tout s’est fini par une belle et longue descente sur Noiretable où nous décidions de nous arrêter pour remplir nos estomacs J

Bon dans le registre « on a de la chance », cette fois-ci ce n’était pas tout à fait le cas, choix du resto-camping au bord du plan d’eau où il y avait une soirée Karaoké !!! Pour le calme s’était pas gagné et perso j’avais jamais vu autant de mouches sur ma pizza L Allez la morale de cette histoire retiendra que nous étions « noirs et à table » à ……. Noiretable J mdrrrr

Puis la nuit arriva…… nous continuions notre progression à travers les communes de la Loire et du Rhône, mais après le col des Fourches, la fatigue et la vigilance nous ordonnèrent de faire une pause. Ce que nous décidions de faire au sommet d’une énième grimpée à St Cyr le Chatoux. Je ne peux pas dire que le choix du lieu fût idéal car un petit vent se leva et nous dûmes quitter nos bancs pour nous réfugier une grosse demi-heure au sol avant qu’un combat de chats errants nous reveille et nous incite à repartir.

Et là je vous le donne en mille, Garminou nous la refait en couleur !!! Alors qu’avant notre arrêt nous étions sur la bonne trace et que nous n’avions pas dévié d’un iota notre route, ben devinez quoi : disparue la trace !!! Bon discussion un peu haute en couleur avec Crampinou, moi insistant pour avancer quand même, lui insistant sur la réinitialisation de Garminou etc etc….

L’option d’avancer étant la bonne nous retrouvâmes la bonne route un peu plus bas à gauche vers le col de St Bonnet, qui au passage n’a que le nom de col tant on ne l’a pas senti J On retrouve Laurent et Alain, eux aussi en délicatessse avec leur GPS, et après un petit demi-tour en pleine descente, nous nous dirigions vers l’Ain et la plaine de la Bresse.

A Vonnas où, paraît-il on mange de très bon casse-croûte (n’est-ce pas Sultan ?), on est définitivement paumés L Garminou ne répond plus……. L Faut dire que les petites routes à suivre sont vraiment…….petites J Bon, arrêt chez l’habitant pour essayer de comprendre l’itinéraire, encore une petite réinitialisation de Garminou et puis finalement on arrive à Cuiseaux après un dédale de petites routes pas toujours très carrossables, sacré Bridou J

C’est CRESSIA qui est en ligne de mire J oui mais faut y aller là-haut et puis faut se farcir les beaux petits « coups de cul » de Chevreaux, Chanelet, du belvédère de la croix de Gizya et la montée de Rosay et son beau château avant d’arriver au bout d’une belle côte bordées de panneaux d’encouragements  à la ferme des « Bridoux » où nous sommes accueillis comme des rois par Vanessa, Sylviane, Régis et consorts.

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Arrivée à CRESSIA, qué malheur ce Crampinou !!!

Hummm ce gratin de pomme de terre et ces saucisses !!!!!  Allez un petit « télé Sergio », une bonne douche, les bidons remplis et c’est repartis pour le dernier quart jusqu’à Kingersheim !

Il est 17h et nous avions fermement l’intention de rejoindre l’arrivée au petit matin, mais dès la reprise de l’itinéraire, les bosses successives de Montaigu et de Rubly, pour rejoindre le plateau du Jura, nous rappelaient à l’ordre et les jambes ne répondaient plus vraiment aux sollicitations de la pente L Tant bien que mal, nous arrivions à rejoindre avant 20 h le pont du Diable de Crouzet-Migette où nous décidions de manger notre petit sandwich en compagnie de la population locale, les belles vaches bicolores J

Tiens un arrêt…. Ça ne vous rappelle rien J ben oui un arrêt, une plantade L décidemment Garminou ne veut pas que nous stoppions notre route, car il s’était de nouveau mis « en grève » L

Bien sûr, la nuit tombait et nous devions nous rendre à l’évidence qu’un petit dodo serait salutaire. Mouthier Haute Pierre sera le lieu choisi, tant pis pour la beauté des gorges de la Nouailles, nous faisions un pit-stop d’une heure et demie sur ….. Le toit d’un garage et à même le sol (un peu dur toutefois). C’est les aboiements d’un chien, soit disant dérangé par mes ronflements (dixit Crampinou J ), qui nous obligeât à remonter sur nos bike et affronter les froides routes « Doubistes » où un petit orage nous était servi J

C’est en entamant la vallée du Dessoudre que Crampinou me fit une belle frayeur car ses yeux se fermaient L il fallait  s’arrêter dix minutes afin de somnoler un tantinet, au bord de la route.

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Le repos du Guerrier J

Ayant rejoint St Hippolyte et, une boulangerie trouvée, nous faisions une halte salutaire où nous fumes rejoint par Mathieu le « parisien-marseillais » J

Le boulanger nous inqdiquât que la route jusqu’à MULHOUSE était plate, mdrrr ils ont de l’humour les Francs-Comtois L

Laissant Mathieu déguster ses viennoiseries et son café, nous reprenions la route, qui s’élevait encore, vers CHAMESOL et DANNEMARIE, puis nous redescendîmes faire une incursion dans le Territoire de Belfort via DELLE, FAVEROIS pour enfin retrouver le département du Haut-Rhin et les routes vallonnées du Sundgau avec au passage, à DELLE, une nouvelle et énième péripétie due à notre Garminou chéri J

Aprés un dernier combat avec nos vélos sur ces routes « malplates », nous arrivions enfin dans la banlieue commerciale de Kingersheim, en plein milieu d’une circulation dense et désordonnées où nous nous fîmes frôlés et insultés au passage L Quel soulagement de trouver la bonne rue qui desservait le Club-House du CCK !!!!!

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ENFIN !!!!!

Je ne vous parle même pas de l’hospitalité des bénévoles du CCK, de leur gentillesse et du dévouement de notre Bridou qui en plus de tout « chécker », arrivât le lendemain matin avec pain frais et confitures maison, pour le petit déj.

Comme on dit à Marseille « Y a rien laaaaa !!!! » J

Un grand merci donc à la « bande à Bridou », qui comme tous les concurrents l’on déjà signalé, nous ont bichonné, choyé et concocté une épreuve sans autre pareille. Tout y était, la joie, le stress, la fatigue, le bonheur de retrouver son cheminJ, le parcours royal, les ravitos « gargantuesques », l’accueil, l’envie d’étrangler Crampinou (lol), l’aventure avec un grand A.

Merci, merci et encore Merci et au passage un « spécial thanks » à ma tit femme, Claire qui se faisait un sang d’encre. On lui a provoqué des insomnies !!!!

On va dire à l’année prochaine pour de nouvelles aventures « Bridouesques » J

P.S : je tiens à dire toute mon admiration pour deux concurrentes, Elisabeth et Géraldine, engagées en solo sur cette épreuve de Ouf. Quelle force de caractère et quelle énergie Mesdames, un énorme BRAVOOOOO à toutes les deux. Ce qui, bien sûr, n’enlève rien aux autres concurrents et concurrentes J

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ET VOILA LE TRAVAIL !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Commentaires
V
Bravo pour ce périple fabuleux et surtout ce beau résumé !!<br /> <br /> Vraiment un grand respect à vous deux, le vélo comme on l'aime :)
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M
Bravo pour votre ténacité ... et pour le récit. Avant de le lire ça faisait envie ... après.... non pas pour moi pour l'instant. Encore bravo !!
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C
Beau récit Sergio d'une sacrée épopée dont vous vous souviendrez longtemps, le genre de truc qui doit forger le mental et les caractères, une belle aventure à la fois humaine et sportive dont vous pouvez être fièrs ... Bravo à vous deux et vive le vélo sous toutes ses formes... Cris 🚴‍♂️🚴‍♀️🚴
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C
Beau récit Sergio d'une sacrée épopée où rien ne vous aura épargnés, le genre d'épreuve qui doit forger le mental et les caractères, une aventure à la fois humaine et sportive avec tout ce que cela sous-entend. Bravo à tous les deux et vive le vélo sous toutes ses formes !!! Cris
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